Une interview de Tim Leberecht, Directeur marketing de NBBJ, l’une des dix plus grandes agences d’architecture au monde. Ou il est question de « romantisme » et d’entreprise…
Moi, quand on me propose de « vivre le travail comme une aventure » : ça me parle, c’est ce que j’essaie de vivre et créer chaque jour!
Quelques citations :
« Je pense qu’il est important de faire une place à ce qui est de l’ordre de l’émotion, de rendre compte de l’impalpable, pour faire renaître une forme d’enchantement, qui va au-delà du bien-être. » (dans l’entreprise, ndlr)
« On doit pouvoir discuter ailleurs que dans des bureaux. En marchant, par exemple. On doit pouvoir communiquer de vive voix plutôt que par écran interposé, partager un repas, sortir du cadre trop lisse de l’open space. »
« le romantisme est un mouvement d’opposition, une protection contre une pensée dominante. C’est une réaction à une désillusion. Au 18e, Novalis, ou Rousseau se sont opposés au matérialisme des Lumières. Aujourd’hui, l’idée dominante est celle de la croissance, de la hausse de la productivité, qui se renforce à travers le numérique. Il serait étonnant que cela ne suscite aucune réaction. »
http://tempsreel.nouvelobs.com/…/avis-aux-patrons-et-aux-sa…